Mais pourquoi un
plan ?
Chaque année la question revient concernant le plan à joindre au dossier de
candidature, on nous demande le plan de la salle pour pouvoir établir un
métrage précis de l’accrochage envisagé.
Ainsi que précisé dans le règlement le plan d’accrochage est demandé « à
titre indicatif ».
Cela permet de se représenter rapidement, lors d'un tour de table en jury
de présélection puis lors du jury final, comment l'auteur envisage le
séquençage de ses travaux (lignes, groupes d'images, rapport des formats, Types
de tirage etc.).
Du point de vue pratique
Vous pouvez proposer un plan sur une ou plusieurs feuilles A4, celles-ci
peuvent être assemblées (un adhésif au dos suffit) : cette solution est
idéale, d’un coup d’œil on comprend les intentions du photographe.
Le plan peut être réalisé par ordinateur avec un logiciel de retouche
d’images ou de mise en pages, on peut alors être précis avec des images à
l’échelle.
Mais vous pouvez aussi confectionner un plan plus rustique, l’important est
sa lisibilité et sa simplicité !
Le lieu d’exposition
La salle qui recevra le Prix QPN n'est pas communiquée à l'avance et d'ailleurs
nous ne savons pas encore laquelle nous utiliserons, cela dépends justement des
travaux exposés, dont le Prix QPN.
Nous précisons un linéaire de 25 m afin de cadrer un peu les propositions,
on ne pourrait de toute façon aller au-delà.
Chaque année le/la lauréat(e) établit son plan d’accrochage
« réel » en dialogue avec le festival et cette fois avec l’aide d’un
plan et de photos de la salle proposée.
En résumé il ne faut pas chercher à concevoir un plan définitif pour un espace déterminé mais plutôt un
document qui nous fera gagner du temps pour visualiser la séquence et le
rapport des formats.
© la QPN
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